• Assassinats médicaux massifs

    Un décès sur deux serait dû à une décision médicale susceptible d'abréger la vie
    Première du genre, l'étude a été conduite sous la forme de questionnaires adressés aux médecins ayant rempli le certificat de 14 999 décès de personnes âgées de 18 ans et plus, représentatifs des 47 872 décès survenus en France en décembre 2009. Dans près de la moitié des cas (48%), le praticien déclare avoir pris une décision médicale en ayant "conscience qu'elle était susceptible d'abréger la vie du patient".
     
    "à partir d'un certain age, les hôpitaux et les maisons de retraite ont une mission bien précise : tuer les vieux ..."
     
    La patiente était âgée de plus de 80 ans et souffrait de démence. Placée dans une maison de soins par son mari, elle y montrait des signes de « peur et de colère ». Le médecin a estimé qu’ « elle souffrait intolérablement », mais « qu’elle n’était plus en mesure d’exprimer son souhait d’euthanasie ». Il reconnait qu’elle a tout de même répété à plusieurs reprises dans les jours précédant sa « mise à mort » : « Je ne veux pas mourir ». A son insu, il a versé un sédatif dans son café puis commencé les injections létales. La patiente a réagi et « lutté désespérément pour ne pas être tué » ; le médecin a alors « demandé aux parents de la patiente de la tenir pour achever son geste ».
     
    Des milliers de personnes âgées ont été tuées par leur propre médecin généraliste sans jamais avoir demandé de mourir sous les lois de l’euthanasie en vigueur en Belgique, selon un rapport universitaire paru hier le 11 juin.
     

     


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